À cheval sur la frontière, Le Droit présente à partir de 1914 sa « page de Hull ». Un premier bureau du Droit ouvre ses portes rue Principale à Hull en 1920, et déjà au milieu des années 1940, plus de 50 % des abonnés sont québécois. Cette popularité force le quotidien à composer avec deux obligations souvent difficiles à concilier : satisfaire aux besoins en information de son lectorat québécois et soutenir la population franco-ontarienne dans son combat pour faire de l’Ontario un lieu de vie et d’épanouissement en français.
Clin d'œil