Au tournant du xxe siècle, les relations sont de plus en plus tendues entre minorité et majorité en Ontario. Des conflits éclatent dans le domaine scolaire, notamment. Ces conflits suscitent la prise de parole publique, tant à l’oral qu’à l’écrit. Intellectuels et écrivains multiplient les discours, les manifestes et les pamphlets. De nombreux journaux voient le jour. La littérature franco-ontarienne devient alors littérature de combat.
